• Elle se déroulera ce jeudi 29 juin à 10h au Rectorat de Clermont-Ferrand  . Vos commissaires y seront et vous communiquerons les résultats à l'issue!

     



  • 1° CTA du 20 juin 2017: déclaration FSU l'intégrale
    http://snuep-clermont.ek.la/declaration-fsu-cta-du-20-juin-2017-a130547352


    CTA du 20 juin 2017: déclaration FSU partie voie pro
    http://snuep-clermont.ek.la/declaration-fsu-du-cta-du-20-juin-2017-partie-voie-pro-a130547360

    CTA du 20 juin 2017: Questions diverses FSU
    http://snuep-clermont.ek.la/cta-du-20-juin-2017-questions-diverses-fsu-a130547368
    CTA 20juin 2017: AVIS!!!!
    http://snuep-clermont.ek.la/cta-du-20-juin-2017-avis-fsu-a130547392

    2° FSU AURA: Signez la pétition intersyndicale:
    https://www.change.org/p/organisations-syndicales-droit-effectif-%C3%A0-la-formation-des-demandeurs-d-emploi-en-auvergne-rh%C3%B4ne-alpes

    Pour un droit effectif à la formation des demandeurs d'emploi en Auvergne/Rhône-Alpes

    CGT - CFDT - CFE/CGC - CFTC - UNSA - FSU

    Appel pour un droit effectif à la formation des demandeurs d’emploi
    en Auvergne/Rhône-Alpes

    La formation est un droit. Que l’on soit salarié ou demandeur d’emploi, chacune et chacun peut, en théorie, accéder à la formation pour développer ses connaissances, évoluer dans sa carrière, obtenir une certification, se reconvertir pour se réorienter professionnellement. Beaucoup s’accorde à dire qu’elle est un élément important de la sécurisation des parcours dans un contexte socio-économique difficile.

    A l’échelle de la région Auvergne/Rhône-Alpes, ce sont 125 430 demandeurs d’emploi qui ont eu accès à un dispositif de formation en 2016. Cette même année, étaient inscrits en moyenne à Pôle emploi 626 000 demandeurs de catégorie A, B et C.

    Seul un demandeur d’emploi sur quatre a pu bénéficier d’une formation mais ce chiffre reste insuffisant au regard des besoins d’accompagnement et d’insertion professionnelle des publics fragilisés par la dégradation économique et les évolutions numériques, technologiques à venir.

    Dans ce contexte, les annonces successives de la réduction des budgets formation par le conseil régional en 2016, poursuivis en 2017 et aussi la fin du financement du plan national 500 000 formations de demandeurs d’emploi dès juin 2017, nous fait craindre une rupture dramatique de l’effectivité du droit à la formation pour tous les demandeurs d’emploi. Avec le risque même, de voir remis en cause des projets de formation en cours des personnes.

    Ça suffit de fragiliser les plus fragiles.

    Par cet appel, les signataires demandent aux pouvoirs publics d’assumer leurs responsabilités conférées par la loi, c’est-à-dire la formation des demandeurs d’emploi. Il est essentiel que les financements de l’Etat et la Région soient confortés sur l’objectif de permettre à tout demandeur de formation d’avoir un financement lui permettant de mettre en œuvre son projet de sécurisation de son parcours professionnel.

    Ils demandent également de privilégier la cohérence et la complémentarité entre les dispositifs emploi-formation du Conseil Régional et de l’Etat aux bénéfices des demandeurs d’emploi en s’appuyant sur les acteurs du service public de l’emploi et du réseau associatif de formation à but non lucratif.

     

    Cette pétition sera remise à:
    • CONSEIL RÉGIONAL et PRÉFECTURE de Région

     

    3° Agenda :

    Lundi 26 juin Conseil d'Administration
    Mardi 27 juin matin: permanence Moulins
    Jeudi : Rectorat Clermont FD à 10 heures Titularisation des stagiaires
    Vendredi: permanence CF ou Moulins?

    4°  A venir

    5/6 juillet SNUEP-FSU National Paris
    6 juillet CTA Clermont/ CDEN Moulins


  • Pour un droit effectif à la formation des demandeurs d'emploi en Auvergne/Rhône-Alpes

    CGT - CFDT - CFE/CGC - CFTC - UNSA - FSU

    Appel pour un droit effectif à la formation des demandeurs d’emploi
    en Auvergne/Rhône-Alpes

    La formation est un droit. Que l’on soit salarié ou demandeur d’emploi, chacune et chacun peut, en théorie, accéder à la formation pour développer ses connaissances, évoluer dans sa carrière, obtenir une certification, se reconvertir pour se réorienter professionnellement. Beaucoup s’accorde à dire qu’elle est un élément important de la sécurisation des parcours dans un contexte socio-économique difficile.

    A l’échelle de la région Auvergne/Rhône-Alpes, ce sont 125 430 demandeurs d’emploi qui ont eu accès à un dispositif de formation en 2016. Cette même année, étaient inscrits en moyenne à Pôle emploi 626 000 demandeurs de catégorie A, B et C.

    Seul un demandeur d’emploi sur quatre a pu bénéficier d’une formation mais ce chiffre reste insuffisant au regard des besoins d’accompagnement et d’insertion professionnelle des publics fragilisés par la dégradation économique et les évolutions numériques, technologiques à venir.

    Dans ce contexte, les annonces successives de la réduction des budgets formation par le conseil régional en 2016, poursuivis en 2017 et aussi la fin du financement du plan national 500 000 formations de demandeurs d’emploi dès juin 2017, nous fait craindre une rupture dramatique de l’effectivité du droit à la formation pour tous les demandeurs d’emploi. Avec le risque même, de voir remis en cause des projets de formation en cours des personnes.

    Ça suffit de fragiliser les plus fragiles.

    Par cet appel, les signataires demandent aux pouvoirs publics d’assumer leurs responsabilités conférées par la loi, c’est-à-dire la formation des demandeurs d’emploi. Il est essentiel que les financements de l’Etat et la Région soient confortés sur l’objectif de permettre à tout demandeur de formation d’avoir un financement lui permettant de mettre en œuvre son projet de sécurisation de son parcours professionnel.

    Ils demandent également de privilégier la cohérence et la complémentarité entre les dispositifs emploi-formation du Conseil Régional et de l’Etat aux bénéfices des demandeurs d’emploi en s’appuyant sur les acteurs du service public de l’emploi et du réseau associatif de formation à but non lucratif.

     

    Cette pétition sera remise à:
    • CONSEIL RÉGIONAL et PRÉFECTURE de Région

     

    https://www.change.org/p/organisations-syndicales-droit-effectif-%C3%A0-la-formation-des-demandeurs-d-emploi-en-auvergne-rh%C3%B4ne-alpes


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    AVIS FSU CTA du 20 juin 2017

     

     

    Avis 1 :

    Le CTA demande que les capacités d’accueil des CAP soient adaptées aux demandes des élèves. Les élèves de collège faisant la demande doivent pouvoir être accueillis au même titre que les élèves sortant d’ULIS ou de SEGPA .

     

    Avis 2 :

    Le CTA se prononce pour le maintien des capacités à 24 de la seconde du BAC PRO Métiers de l’électricité et environnement au Lycée Charles et Adrien Dupuy au Puy en Velay et l'ouverture sans condition d'une seconde GT au Lycée Geneviève Vincent de Commentry.

     

    Avis 3 :

    Le CTA s’oppose à la fusion d’écoles en cours d’année et, en tout état de cause, demande la consultation des instances de représentants de personnels et des conseils d'école avant tout projet de restructuration, quel qu'il soit.

     

    Avis 4 : Lycéens au cinéma

    Le CTA demande que les établissements (proviseurs, directeurs de CFA, référents locaux Lycéens et Apprentis au cinéma) soient officiellement alertés par le Rectorat sur le fait que ne pas choisir 2 des 3 films prévus au PAF pourrait entrainer la suppression de cette formation, financée par la seule académie de Clermont dans la Région Aura.

     

    Avis 5 : 

    Le CTA rappelle les missions des personnels AED, centrée sur des fonctions d’assistance à l’équipe éducative notamment pour l’encadrement et la surveillance des élèves et l’aide à l’accueil et à l’intégration scolaire des élèves handicapés. Ce ne peut être une mission de remplacement de courte durée des enseignants

    Avis 6 ::

    Le CTA s'oppose à toute évolution et toute expérimentation sur le temps de service hebdomadaire des enseignants du LP Germaine Tillion de Thiers , évolution ouvrant la porte à une annualisation du temps de travail.


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    - Les élèves relevant du dispositif ULIS  étant prioritaires comme les élèves sortants de SEGPA dans les sections de CAP, y-aura-t-il assez de places de CAP pour accueillir les élèves de collège en faisant la demande? Quel est le taux de pression actuel ?

     

     

     

    - Le manque de remplaçants d’enseignants du 1er degré dans l’Allier a notamment amené à la fusion des écoles de St Gerand de Vaux et de La Ferté Hauterive en cours d’année. Par ailleurs, la gestion du remplacement dans le 1er degré sur ce département montre une grande difficulté à pérenniser les remplacements. Quelles garanties pouvons-nous avoir sur le fait que cette situation reste exceptionnelle et que le remplacement sera amélioré ? Questions valables pour tous les départements ?

     

     

     

    - Quelle est la réalité des rumeurs concernant la suppression de 200 postes principalement dans le 1er degré à la rentrée 2018 ? Quelle est le lien éventuel avec les conventions ruralités signées dans notre académie ?

     

     

     

    - Concernant les documents sur la dotation AESH par établissement, comment différencier la part qui revient à l’établissement et celle relevant du 1er degré ?

     

     

     

    - Concernant les personnels de laboratoire, au moins huit postes restent vacants dans toute l’académie. Comment ces postes seront pourvus à la rentrée 2017 ?

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


  • Développement de l’apprentissage :

     

    En réponse aux grandes orientations stratégiques pour le développement de l’apprentissage de la grande région académique, la FSU rappelle qu’elle s’oppose au « tout apprentissage », au mixage des publics dans les sections qui dégrade les conditions de réussite des apprentis et les conditions de travail de leurs professeurs, à la concurrence entre CF-ENA et les autres CFA - et surtout entre CFA et statut scolaire, toujours en défaveur de ce dernier -, à l’adéquationnisme entre formations et demandes des entreprises, qualifications adaptées à un marché du travail local, dans un monde de mobilité professionnelle, au refus total de la validation de blocs de compétence, de MC  ou de FCIL en lieu et place de diplômes sur lesquels sont assises les grilles de rémunération des branches, surtout dans un contexte de négociation dans l’entreprise.

     

    Quoiqu’en pensent les Régions de France, les thinks tanks Terra Nova et l’Institut Montaigne, le Président de Région et le Président de la République, l’apprentissage n’est pas la solution.

     

    Il ne peut résoudre les problèmes d’attractivité des métiers (image, conditions de travail et de rémunération), la résorption des plus des 600 000 chômeurs que compte la Région AURA, les blocages de progression dans l’entreprise car l’apprentissage reste discriminant. On sera apprenti ou pas selon que l’on est un garçon, avec un nom à consonance européenne, venu de quartiers favorisés et plutôt diplômé ou pas du tout.

     

    D’autres pays européens, en Suisse par exemple, ont rééquilibré leur système éducatif en créant un bac pro 4 ans pour favoriser la montée des qualifications via l’université et les écoles d’ingénieurs. En conséquence, la FSU demande le rétablissement du bac pro 4 ans pour favoriser la montée des bacheliers de la voie PRO dans le supérieur.

     

    Dans le modèle allemand, si l’apprentissage reste pertinent dans l’industrie, c’est qu’il est adossé à des rémunérations supérieures à celles des ouvriers français malgré le dumping salarial et grâce à l’évolution professionnelle dans l’entreprise. Par ailleurs, le patronat recrute des ingénieurs étrangers et on assiste et à un renforcement des formations universitaires visant à former plus d’ingénieurs.

     

    Mais dans le cadre des services marchands, l’apprentissage devient inopérant : les apprentis pour 40% d’entre eux n’intègrent pas l’entreprise qui les a formés. Ils retombent dans la précarité, notamment dans l’hôtellerie-restauration, parce qu’ils n’ont pas développé des compétences assez générales pour rebondir sur le marché de l’emploi.

     

    Il faut donc faire le pari d’ouvertures de sections sous statut scolaire dans l’Éducation Nationale, que ce soit à Charles et Adrien Dupuy au Puy en Velay ou à Commentry !

     

    Pour la FSU, le service public d’Éducation doit tout mettre en œuvre pour faire réussir les 700 000 élèves scolarisés dans la voie pro et ne doit reléguer leur formation ni aux collectivités territoriales ni aux entreprises.